Une paillotte est faite de bois et de paille. De soleil et de bonne humeur. La paillotte d’U Capu Biancu, en Corse du Sud, est aussi faite de croquant à croquer, de goûts à déguster. Dès le 14 juin et jusqu’en septembre, on y déjeune, on y dîne, on y « chill ». Salades fraîcheurs, poissons grillés et autres gourmandises ajoutent à l’atmosphère décontractée du lieu.
Nous vous avons déjà conté la genèse de notre exploitation permacole. Le pourquoi et le comment. Nous avons écrit à propos de David, maraîcher engagé, et de sa passion pour le vivant. Depuis, Capu Verde a grandi. Toujours grâce aux soins méticuleux de David. Elle a grandi avec le même objectif : mener U Capu Biancu vers l’autonomie alimentaire.
Cette année encore, le domaine U Capu Biancu a attendu le printemps pour rouvrir ses portes. Le printemps… La saison du renouveau, de la renaissance. La saison des couleurs, des senteurs, des saveurs. La saison des fleurs...
Imaginez un arbuste, lequel aura sommeillé l’hiver durant. Peu à peu, le voilà qui frémit, étend sa ramure et se pare de bourgeons. Il ne semble attendre qu’une chose, une seule chose, pour enfin laisser éclore ses plus belles fleurs. Cet arbuste, c’est U Capu Biancu. L’hôtel, le spa, les restaurants, les villas maquisardes, la Galerie bonifacienne seront autant de fleurs qui ouvriront leurs pétales. Oui dès aujourd'hui le domaine U Capu Biancu accueille à nouveau les voyageurs venus du monde entier.
“Jette une poignée de pierres, une au moins atteindra son but” dit le proverbe indien. A l’hôtel U Capu Biancu, nos pierres sont autant de décisions que nous « jetons » dans l’espoir que toutes atteignent leur but. Une était indispensable : éradiquer définitivement l’usage unique de nos établissements en 2025.
A bien y réfléchir, cette décision tenait d’abord à une question : en avez-vous vraiment besoin ? Oui, avez-vous réellement besoin de tous ces objets à usage unique que l’on trouve dans les hôtels ? La réponse s’est traduite ici par des actions concrètes.
A l’hôtel U Capu Biancu, nous ne sommes pas des révolutionnaires. Ni des révoltés. Pas même des donneurs de leçons. Bien au contraire. Cependant, nous revendiquons. Nous revendiquons le meilleur pour vous, pour nous, pour la terre qui nous porte. Plus encore, nous agissons. Depuis longtemps d’ailleurs. Oui, depuis des années, nous encourageons notamment à consommer local. A consommer en suivant le rythme des saisons. A consommer responsable.
La fin n'est qu'un début. Le début d'un nouveau cycle, d'une nouvelle vie. Aussi, quand U Capu Biancu ferme ses portes à la fin d'une saison, c'est pour mieux préparer celle à venir.
Avant toute chose, avant même de vous confier la suite des aventures "capuesques", laissez-nous vous dire combien nous avons apprécié ces moments passés avec vous.
Combien ils nous sont chers. Parce que oui, ils nous rendent heureux. VOUS nous rendez heureux. Parce que oui, ils sont - VOUS êtes - la preuve que nous sommes encore et toujours sur le bon chemin.
A l’hôtel U Capu Biancu il existe une vie… culinaire. Parfaitement : une vie culinaire ! Elle est le fruit du travail de notre chef exécutif, bien sûr, mais aussi du travail des producteurs de l’île de Corse. Elle est riche, elle est multicolore, elle est festive, elle est nomade.
La vie culinaire d’U Capu Biancu se décline en soirées, en déjeuners, en instants gourmands. Elle se passe au restaurant de l’hôtel, à la paillotte, en cave, sur la plage ou dans quelque endroit abrité du domaine. Elle a le goût d’un repas « a l’usu corsu », d’une viande ou d’un poisson grillé, d’une salade fraîcheur ou d’un délice sucré.
Marilyn Monroe affirmait que « le bonheur n’est pas dans l’argent, mais dans le shopping ». « Shopper » c’est en effet s’offrir un droit. Le droit de profiter de l’instant présent. « Shopper » dans l’une des boutiques d’U Capu Biancu, c’est saisir pleinement ce droit et… s’en délecter !
Pour cela, il existe une méthode infaillible dont nous vous livrons ici quelques secrets.
On dit du vin qu’il fait chanter. Peut-être… Certainement même. Mais une chose est sûre, c’est que le vin chante. En tout cas, ici, dans la cave ou à la table d’U Capu Biancu, le vin chante. Il chante le terroir qui l’a nourri, le raisin qui l’a enfanté, les femmes et les hommes qui l’ont élevé. Et nous, nous aimons chanter…
Nous le concédons, entendre un vin chanter n’est pas à la portée de tous. Il faut pour cela avoir l’oreille aussi fine que le palais. Ou plutôt, il faut pour cela savoir écouter autant que goûter.
Connectés. Aujourd’hui, le monde – et nous avec – est (sur)connecté. Connecté à quoi ? A qui ? La question se pose en réalité. D’aucun s’interrogeaient d’ailleurs à ce propos : “A quoi ça sert d'être connecté à la terre entière si on n'a rien à se dire ?”* Eh bien ici, à l’hôtel U Capu Biancu nous vous proposons de vous connecter… en vous déconnectant !
Un séminaire digital détox ? « Qu’est-ce donc que cette lubie encore ? » se demanderont certains d’entre vous. Ce n’est pas une lubie. C’est devenu nécessité dès que, à trop vouloir communiquer, nous avons perdu le sens premier de la communication. Rassurez-vous, il ne s’agit pas de vous priver de wifi, de réseaux sociaux ou de votre plateforme de streaming préférée, mais plutôt de vous aider à vous passer d’eux. Mieux encore, de vous aider à vous (re)connecter avec le monde qui vous entoure.
Des cacahuètes produites en Corse ? Et puis quoi encore ? Pourquoi pas des avocats, des fruits de la passion, des kakis, des kiwis et du cédrat tant qu’on y est ? Pardon… ? C’est possible ? Oui, c’est possible. D’ailleurs, on retrouve ces saveurs exotiques dans le potager d’U Capu Biancu, et mieux encore, dans sa cuisine !
On aura beau dire, entre une confiture industrielle et une confiture faite maison, aucune, vraiment aucune hésitation ! La saveur et le parfum du fruit bien sûr, mais surtout ce petit truc en plus.
Ce petit truc en plus, à l’hôtel U Capu Biancu nous le distillons dans chacune de nos préparations. Ce petit truc a avoir avec l’amour pour notre terre et la volonté de vous plaire. Ce petit truc fleure bon l’île de Corse.
Nos enfants ont eu un rêve. Un rêve d’enfant. Celui d’une maison dont nous chantions les louanges depuis notre petite embarcation. C’était à l’occasion de sorties familiales en mer. Nous, Jean-Louis et Sylvie Limongi, leur montrions cette maison en leur disant : « c‘est la plus belle de Bonifacio ! » Eux, le regard ébloui par les reflets et le soleil de Méditerranée, voyaient alors un château. De ceux que seul l’imaginaire enfantin sait construire.
Nos enfants ont donc grandi avec ce rêve fou qu’un jour, ce « château » deviendrait le leur. Oui ! Il serait leurs ces jardins, cette vue imprenable et cette bâtisse historique. Aussi, quand ils ont appris qu’elle était en vente, ils n’ont rien lâché de leur détermination : leur rêve devait devenir réalité. Nous avons donc retroussé nos manches et avons « ferraillé » pour accomplir ce rêve d’enfant. Parce qu’« un enfant ça vous décroche un rêve, ça le porte à ses lèvres et ça part en chantant. »* Et nous, nous voulions entendre nos enfants chanter…
Souffler. Prendre le temps. Un temps pour soi. Un temps pour libérer son corps et son esprit de toute tension. Souffler. Respirer. S’écouter et se retrouver enfin. C’est ce que nous voulons pour vous : que vous jouissiez d’un instant paisible. Aussi avons-nous organisé trois retraites. Trois parenthèses « oublieuses » du monde, avec pour toile de fond U Capu Biancu et son environnement apaisant.
Il était une fois, une île vivante. Une île grouillante de vies. Toutes sortes d’animaux y déambulent en effet : des beaux, des moches, des sociables, des asociaux. Des qui marchent, des qui rampent, des qui volent, des qui nagent.
« Promenons-nous dans les bois, tant que le loup n’y est pas (...) » Rassurez-vous (pour ceux qui ont besoin d’être rassurés), ici, vous ne risquez pas de tomber sur un loup, il n’y en a pas.
La vie dans le sud ? E-PUI-SAN-TE ! Et pas faite pour tous… Déjà, il faut aimer le soleil, la sieste, et surtout la liqueur de myrte. Ensuite, il faut s’adapter au rythme. « Pianamente è bè » dit-on ici. En gros, « lentement, mais sûrement ». Cliché que tout cela ? Peut-être…
Le côté « lenteur obsessionnelle », avouons-le, relève effectivement du cliché. Dans le sud, même les ânes ont appris à dépasser les 5 km/h. Question de motivation… Pour le reste, laissez-nous vous expliquer.
Parce que vous pensez qu’à l’hôtel U Capu Biancu, une fois les portes fermées, on se la coule douce ? Comment dire… pas vraiment ! Pas du tout même ! Au contraire, nos cerveaux fument plus que jamais. Quant à nos bras, nos jambes et nos mains, ce n’est guère plus reposant pour eux. Et pour cause, l’heure des grands travaux hivernaux a sonné !
Nous pourrions vous pondre une liste exhaustive des travaux prévus cet hiver, mais vous vous ennuieriez à coup sûr. Peut-être même que vous partiriez en courant devant l’ampleur de l’ouvrage ! Et qui sait, pris de pitié pour nous, vous envisageriez même, ô sacrilège ! de ne pas (re)venir la saison prochaine… Par conséquent, nous allons simplement, ici, vous conter une belle histoire.
« La simplicité, un chemin sans détours qui va droit au but » écrivait le penseur. A l’hôtel U Capu Biancu, nous sommes des adeptes de la simplicité. Et des chemins qui vont droit au but. Alors bien sûr, pour emprunter l’un de ces chemins-là, encore faut-il définir le but lui-même. Comme, par exemple…
« L’essentiel est le chemin » dit-on. Certes, et il vaut mieux tant parfois il peut être long. Mais celui que nous avons emprunté il y a plusieurs années a un but bien plus important : préserver l’environnement.
Nous avançons donc sur le sentier ardu de la préservation de notre terre, de notre eau et de notre air. Lentement (quoique…) mais sûrement.
“La vraie nouveauté naît toujours dans le retour aux sources ” écrivait Edgar Morin. Le grand penseur aurait-il séjourné dans l’un des villas de l’hôtel U Capu Biancu ? Parce qu’il s’agit là, à n’en pas douter, de notre vision de la nouveauté : un retour aux sources !
A commencer par la source elle-même. Cette même source à laquelle nos aïeuls s’abreuvaient…
U Capu Biancu ferme ses portes jusqu’à l’année prochaine. Une nouvelle saison s’est écoulée. Une de celles dont nous savons qu’elle vous aura fait autant de bien qu’à nous.
Alors oui, nous pourrions en fredonner de la chansonnette « d’adieu » ! Vous écrire que « ce n’est qu’un au revoir ». Que si U Capu Biancu c’est fini, ça l’est seulement pour cette année car vous y retournerez certainement un jour. Vous assurez, par la même occasion, que « rien ne nous séparera » et que vous verrez, nous nous retrouverons.
Une année se termine, une autre débute. Viennent alors, de toute part et comme un leitmotiv généreux, les vœux de santé, de bonheur, de prospérité, d’abondance. À l’hôtel U Capu Biancu, nous ne dérogeons pas à la règle.
Nous ne dérogeons pas à la règle non pas parce qu’il s’agit d’un devoir de bienséance, d’une habitude sociale de bon aloi, mais parce que nous avons emmagasiné tellement de beaux instants, tellement de belles émotions avec vous, qu’il nous faut les exprimer. Qu’il nous faut nous en libérer pour mieux nous en emplir, à nouveau, la saison prochaine.
Recycler n’est pas jouer. Recycler est préserver le présent, préserver le futur. Le nôtre et celui d’une planète déjà bien abîmée. A l’hôtel U Capu Biancu, recycler est un engagement, un leitmotiv. C’est un défi également, ne le nions pas. Mais vous nous connaissez, nous adorons les défis…
Nous ne nous ne sommes pas réveillés un beau matin en nous disant : « tiens, et si on recyclait ? » Non. Depuis qu’U Capu Biancu est né, nous cherchons les meilleures alternatives pour réduire l’impact sur la nature. Le recyclage est l’une d’entre elles.
Il y a dans le mot braderie un petit quelque chose qu’ici nous aimons beaucoup. Un petit quelque chose qui fleure bon les échanges et qui rime volontiers avec préservation. Préservation de l’objet, de l’environnement. Du budget aussi. Et il y a dans ce mot comme une fantaisie qui rime avec flânerie. C’est une des raisons pour lesquelles, chaque année, nous organisons la Capubraderie. Et quel plaisir de vous y retrouver !
Cette année, la Capubraderie aura lieu le… Vous y débusquerez des trésors auxquels nous souhaitons offrir une deuxième, voire une troisième vie. Tous ont une ou plusieurs histoires à raconter.
Nous l’avions déjà écrit (à multiples occasions même) : la Corse automnale a un charme bien particulier. Il règne, en cette période, sur les montagnes et les plages de l’île, une atmosphère difficilement descriptible. On vous parlera bien sûr de calme, d’apaisement, de parfums enivrants, de couleurs incomparables, de mets revigorants et chaleureux. Mais vous décrire le bien-être qui s’empare des corps et des âmes lorsqu’ici l’été fait peu à peu place à l’hiver est bien plus complexe, voire impossible. Alors venez, goûtez, respirez, écoutez et voyez par vous-même, vous saurez…
Des escaliers… Quoi de plus banal en somme que des escaliers. De plus banal et de plus éreintant. Surtout lorsqu’ils sont composés de quelques… 189 marches. Mais vous avez raison, 189 marches qui se succèdent les unes aux autres, ce n’est déjà pas si banal que cela. Et quand ces 189 marches sont taillées de manière irrégulière à flanc de falaise, croyez la famille d’U Capu Biancu, elles n’ont absolument rien d’anodin ! Au contraire…
Ainsi, les marches qui composent les célèbres escaliers du Roy d’Aragon à Bonifacio ont quelque chose d’ahurissant. De déconcertant même. Pour ne pas dire effrayant. On ne sait trop s’il faut se lancer à l’aventure et les dévaler en direction de la mer ou non. On hésite, on tergiverse, on se dispute parfois : c’est qu’il faudra ensuite les remonter ! Mais l’hésitation, les tergiversations et les disputes ne sont souvent que de courte durée : la descente s’impose ! Et pour cause…
Sur l’île, nous avons un mot pour signifier que ce dont nous parlons est inhérent à la Corse, que c’est « du pays », du « made in Corse ». Ce mot c’est « nustrale » (à prononcer « noustrale » avec une pointe d’accent aigu sur le dernier « e »). Les lundis à l’hôtel U Capu Biancu sont, par exemple, nustrale, c’est-à-dire 100% corses.
Il nous semblait de bon sens qu’en venant en Corse vous cherchiez à goûter la Corse. Aussi avons-nous dédié nos lundis à un voyage entièrement insulaire. Un voyage gourmand, mais aussi musical.
A l’hôtel U Capu Biancu, la sieste n’est pas une simple option. Pas même une obligation. Elle est bien plus que cela, elle est un engagement ! Une philosophie, un mode de vie indiscutable (oserons-nous parler de culte ?). Et comme tout engagement, comme toute philosophie, la sieste mérite qu’on lui consacre les moyens nécessaires. C’était donc évident : nous devions créer un siestodrome.
Vous aurez beau chercher dans les dictionnaires, vous n’y trouverez aucun « siestodrome ». Et pour cause ! Ce mot a été inventé par les initiés. Il ne s’adresse qu’aux adeptes de la sieste et de ses bienfaits. Nous en sommes, de ces adeptes. Et si nous ne nous revendiquons pas comme faisant partie intégrante de la culture méditerranéenne (même si nous y croyons fortement), nous constatons simplement les faits : la sieste est régénératrice.
Être zen. Être zen, détendu, en paix. Avec soi-même, avec les autres. Être zen n’est pas chose aisée. En tout cas pas au quotidien. Cela demande des efforts, des concessions, de l’attention et de la concentration. Or, être zen est essentiel. Pour soi, pour les autres. A l’hôtel U Capu Biancu, nous avons souhaité vous accompagner dans votre quête de zenitude en organisant deux retraites bien-être.
Dans le mot « retraite » il y a bien sûr l’idée de se retirer du monde. De faire une pause vis-à-vis du monde. Il y a aussi, et c’est là le dessein de ces moments, l’idée de retirer cette seconde peau, lourde et usée, qui nous empêche souvent d’avancer. Comme une mue dont il faut se débarrasser. Pas forcément pour en fabriquer une nouvelle, mais simplement pour s’alléger.
Il y a dans le mot « pique-nique » comme un rappel à l’enfance. Aux dimanches de l’enfance. Lorsqu’on regardait avec envie les « grands » remplir les boîtes en plastique de salades généreuses, de sandwiches en tout genre et autres régalades. On voyageait alors sur les routes de campagne, en bord de mer ou au pied des montagnes, impatients, affamés, à la recherche du coin idéal. Celui où l‘on pourrait étendre la couverture sur le sol, y déposer les fameuses boîtes tout juste sorties de la glacière et enfin dévorer à pleine dent le pique-nique tant attendu. Ces dimanches-là avait un goût inoubliable d’allégresse et d’insouciance.
Parler de soi n’est pas toujours chose aisé. Romain ne nous contredira pas sur ce point. Quand nous lui avons demandé de se livrer parce que nous désirions vous le présenter par le biais de ce blog, il s’est montré avare en mots. Pas par radinerie, mais bien par pudeur. Et c’est cela que nous aimons aussi chez Romain. Sa pudeur, sa candeur, sa discrétion. « Aussi » parce que nous aimons beaucoup d’autres choses chez ce jeune homme. Ses beaux yeux évidemment, mais surtout son sérieux, son professionnalisme et sa gentillesse. Sa patience et son calme.
Ne tergiversons pas pendant des heures, le moment indispensable des vacances, celui à ne louper sous aucun prétexte, c’est… l’apérosé !
Qu’est-ce que l’apérosé ? C’est simple. Simple et délicieux comme un instant inoubliable, un instant d'exception. Vous souhaitez en savoir un peu plus sur la façon dont le vivre ? Voici un petit mode d’emploi.
D’abord, installez-vous confortablement à l'une des terrasses du bar. Plongez maintenant votre regard dans l’intensité azuré de la Méditerranée. Pendant quelques secondes (ou minutes, au choix), ne pensez à rien d’autre qu’à la nature environnante et à la chance de vivre cette parenthèse.
Lorsque nous parlons « locavorisme », nous parlons engagement. Engagement envers une terre, envers des producteurs et bien sûr, envers… vos papilles. Et nous allons jusqu’au bout de nos convictions (et de notre gourmandise également). Venez, ouvrez le mini bar, laissez-vous tenter et vous comprendrez…
Dites… vous êtes plutôt sport, farniente ou… découverte ? Plutôt confort ou nature ? Peut-être un peu de tout cela à la fois ? Peut-être cela dépend-il de votre humeur du jour même. En tout cas, si nous vous posons la question, c’est pour mieux vous conseiller en matière de plage. Oui, de plage… Parce qu’ici, au pied de l’hôtel U Capu Biancu, se trouvent trois plages différentes. Trois plages dont le souffle, l’atmosphère et le paysage sont différents.
Un anniversaire rock sur fond de pleine lune ? C’est à l’hôtel U Capu Biancu le 13 juillet prochain. Avec le groupe Little Rock et vous bien sûr…
Un peu de rock n’a jamais fait de mal. Bien au contraire ! Surtout pour célébrer un anniversaire… D’ailleurs, à l’hôtel U Capu Biancu, nous en savons quelque chose : chaque année, et depuis longtemps déjà, le groupe Little Rock illumine quelques-unes de nos soirées. Du rock, de la variété, de la pop, du talent et de la musique. On danse, on chante, on « s’enjaille », bref, on festoie et on vit.
Amis fidèles, vous l’aurez sans aucun doute remarqué, à l’hôtel U Capu Biancu nous avons notre propre vocabulaire. Ou, pour être plus précis, nous conjuguons verbes, adjectifs et autres déterminants en mode... « capu ».
Ainsi sommes-nous capubienveillants, capujoyeux ou encore capuprofessionnels. De même, parle-t-on de nous comme la caputeam ou la capufamily. Dernièrement, nous vous invitions également à devenir des capubianquistes, à savoir à adopter, ou à défaut à approuver, la capututide.
Pensez-vous que sur un ring s’affrontent deux adversaires ? Eh bien pas toujours. Sur un ring se toisent deux athlètes de haut niveau, deux forces que la nature et la volonté ont façonnées, deux virtuoses de coups francs et décisifs. D’aucuns opposent ainsi nos vues mer et nos vues maquis. Eh bien soit, que le match commence !
Rassurez-vous, dans ce combat-là, il n’y aura aucun K.O., aucun coup bas, aucune animosité. Bien au contraire, c’est une rivalité saine. De celles qui poussent à la transcendance et à l’excellence.
L’hôtel U Capu Biancu ouvre grand ses portes pour une nouvelle saison, et ce dès le 18 mai ! Une saison qui s’annonce haute en couleur, en chaleur et en bonne humeur ! Comment en sommes-nous si sûrs ? Eh bien parce que nous avons énormément travaillé cet hiver pour cela.
Qu’on ne s’y trompe pas, le lancement d’une nouvelle saison n’est pas anodin. Loin de là. Il y a bien sûr l’excitation de vous retrouver. Ou de vous rencontrer pour la toute première fois. Une excitation que nous tentons de contenir, rassurez-vous, afin de vous épargner des effusions disons trop… capuesques ! Et puis il y a l’ouvrage hivernal. Celui dans lequel nous nous jetons corps et âmes avec pour seul dessein votre bien-être. Vous pensez que nous exagérons ? Lisez plutôt…
Pouvait-on choisir meilleur endroit que Bonifacio pour évoquer « le mouvement qui façonne les identités méditerranéennes, à l’image des vagues migratoires ou des échanges matériels et immatériels » ? On en doute. Quoiqu’il en soit, ce mouvement est le thème de la biennale d’art contemporain qui s’ouvrira dès le mois de mai et pour 6 mois à Bonifacio.
Bonifacio aurait pu se contenter d’accueillir des artistes et d’exposer leurs œuvres dans une de ses galeries. C’eût été trop classique pour la belle. C’est pourquoi la cité s’apprête à se transformer elle-même en galerie pour accueillir la biennale d’art contemporain De Renava.
Qu’écrire sur Bonifacio qui n’a pas déjà été écrit ? Doit-on rappeler son histoire, sa beauté, sa singularité ? Les innombrables clichés d’elle valent bien des mots. Pourtant, Bonifacio mérite que l’on jette encore un peu d’encre sur le papier ou quelques lettres sur un écran. Car la cité est source intarissable de surprises et d’événements.
Ainsi, saviez-vous qu’elle détient le label Ville et pays d’art et d’histoire ? Un label par lequel elle s’engage davantage encore à partager son identité, à sensibiliser ses habitant et ses visiteurs sur son patrimoine extraordinaire et sur son cadre de vie agréable. Un patrimoine et un cadre de vie que la belle entretient régulièrement. Depuis trois ans, chaque hiver, la citadelle se refait une beauté : réfection des réseaux d’eau et électricité, assainissement, réhabilitation et aménagement des rues et des places, éclairage public, etc. C’est que la dame vieillit et qu’elle ne peut que vieillir bien !
L’histoire d’amour entre l’hôtel U Capu Biancu et la mer existe depuis toujours. Cette alliance basée sur le respect a enfanté une idée : utiliser l’énergie thermique marine naturellement renouvelable pour réduire considérablement notre consommation de gaz et d’électricité.
Parce qu’il faut toujours un début, nous avons décidé de commencer par la mise en place d’une centrale hydro hybride utilisant l’énergie thermique de l’eau douce. L’idée est ainsi devenue projet. Et le projet est devenu… réalité.
Dites… que faites-vous pour les vacances de Pâques ? Vous hésitez encore ? Bon… voici quelque idée qui aura tôt fait de vous décider. Et pour cause ! C’est un voyage que nous vous proposons. Ou plus exactement une pause. Une pause pascale…
Votre terre d’accueil : la Corse bien évidemment ! Dont on sait qu’en cette période elle est un lieu de paix idéal. Votre refuge : une de nos cinq villas dont, pour la première fois, nous ouvrons les portes le 9 avril. Avant même celles de l’hôtel U Capu Biancu ! Ce choix, nous le faisons pour vous. Pour vous permettre de souffler dès les premières notes printanières. Et vous aider à faire le plein de nature et de sérénité.
Il y a des combats qu’on pense perdus d’avance tant l’ouvrage paraît lourd. Tant les chantiers sont énormes et complexes. C’est vrai. Pourtant, devant ce constat, à l’hôtel U Capu Biancu 4*luxe on s’interroge : et alors ?
Et alors ? Depuis quand compliqué rime avec impossible ? Et pourquoi luxe devrait-il rimer avec gaspillage et pollution ? Pour nous, les termes « impossible », « gaspillage » et « pollution » sont tout sauf… « capuesques » ! Aussi, quand nous avons décidé de réduire considérablement les produits à usage unique de notre grande maison, nous savions que la tâche serait ardue. Mais cela ne nous a pas empêché de nous lancer dans une véritable chasse à l’usage unique.
À cette question posée un jour, de façon (presque) anodine par Vanessa, responsable de la cave et des vignes de l’hôtel U Capu Biancu, la réponse a fusé : les 17 et 18 février prochain !
Eh oui ! Il nous fallait bien un nouveau défi ! Un défi qui s’inscrive bien sûr dans la philosophie de l’hôtel U Capu Biancu 4* luxe, et dans notre envie de développer un tourisme durable et responsable. Donc, après un potager, un poulailler, une exploitation en permaculture, pourquoi pas une vigne ?
Si l’amour était une couleur, il serait un délayage de vert, de bleu, de jaune et d’ocre méditerranéens.
Si l’amour était un parfum, il exhalerait le myrte et le lentisque, l’iode et l’humus.
Si l’amour était une saveur, il aurait le goût sauvage de la Corse et celui, métissé, du monde.
Si l’amour était palpable, il serait chaud comme le bois, ferme comme la pierre de Bonifacio, doux comme le coton.
Si l’amour était une boisson, il serait un cocktail vitaminé, un vin tanique ou une eau de source.
Si l’amour était une terre, il serait une île. L’île de Corse.
Si l’amour était un pays, ce pays s’appellerait sans aucun doute… U Capu Biancu
Ailleurs, on vous appelle communément les saisonnières et saisonniers. Vous êtes celles et ceux que l’on embauche pour un temps, pour une période de l’année. Vous allez, vous venez. D’une région à une autre. D’un établissement à un autre. D’une saison à une autre. Du fait de cette itinérance, on mésestime parfois vos qualités, on ne vous prend pas toujours au sérieux, on vous malmène même. Mais vous savez ce qui se dit de « on » … ?
Bref ! Ici, vous n’êtes pas de simples saisonniers et saisonnières ; vous êtes les forces vives saisonnières de l’hôtel U Capu Biancu ! Vous êtes notre tonus, notre vitamine C.
Ici, dans ce petit coin de Corse, les années se succèdent sans jamais se ressembler. Au contraire, elles apportent leur lot de trésors qui sont autant de cadeaux rêvés et d’étrennes éternelles.
Et une de plus ! Une année révolue… ou presque. Une année et pas des moindres puisque nous avons dû, comme nombre d’entre vous, surfer sur les vagues. Sur les ondes solitaires qui nous ont agréablement bercés tandis que d’autres, de dangereuses scélérates, auraient pu nous faire chavirer. Elles ont à peine réussi à nous faire tanguer…
Eh bien oui – et vous le savez n’est-ce pas ? – quand U Capu Biancu ferme ses portes, ce n’est pas pour très longtemps. Seulement l’affaire de quelques semaines, histoire de préparer (entre autres bonnes choses) la saison prochaine…
« Avec une météo aussi ensoleillée sur la Corse, U Capu Biancu aurait bien pu rester ouvert quelques semaines de plus ! » Avouez… Cette pensée vous a au moins effleuré l’esprit ! Et comme nous vous comprenons ! C’est vrai que la Corse bénéficie encore de magnifiques journées : l’air semble avoir été « épuré » par les pluies automnales, les senteurs d’humus et de maquis titillent les narines et les saveurs de saison… ah les saveurs de saison ! Elles affolent les papilles et apaisent les cœurs autant que les estomacs.
Saveria Geronimi est une artiste. Une artiste vraie. Ses créations ? De véritables bijoux ! Au sens propre comme au figuré. Saveria Geronimi aime donc créer et c’est tant mieux ! Tant mieux pour nos mains, nos cous, nos oreilles et même nos épaules qu’elle pare de bijoux raffinés et… originaux. Tant mieux pour l’hôtel U Capu Biancu pour lequel elle a réalisé une collection inédite.
L’originalité et le sur-mesure, c’est l’estampille de Saveria Geronimi et de sa marque Germès.
La mer, si ailleurs on la regarde danser, ici, à l’hôtel U Capu Biancu, on danse avec elle. A bord de notre Boston Whaler ou de notre zodiac, on en épouse les courbes. Mieux encore, on la laisse nous mener vers des criques esseulées, jusqu’à des contrées inconnues que l’on nomme Lavezzi, Bonifacio ou encore Sant’Amanza.
Ici, nul besoin de présenter son diplôme de commandant de bord pour profiter d’une journée en mer. Que nenni ! Gilles notre skipper est là pour vous emmener naviguer. Mais attention ! Un équipement adéquat est tout de même nécessaire !
Des mots. De beaux mots écrits par le poète coréen Yun Son-Do au 17e siècle. Des mots qui résonnent dorénavant non plus comme un adage, mais bien comme un défi à relever. Et pour cause : si au siècle du poète nous étions loin d’imaginer que l’eau n’est pas plus éternelle que la terre qui nous porte, aujourd’hui il nous faut regorger d’idées pour la préserver. Et à l’hôtel U Capu Biancu, nous n’en manquons pas…
Nous sommes donc un hôtel en bord de mer, un hôtel 4 étoiles, un hôtel de Corse. Devons-nous, pour cela, reléguer la préservation des ressources naturelles au second plan ? Certainement pas !
L’hiver est fini depuis plusieurs mois maintenant et il semble que vous n’ayez toujours pas écouté la complainte de votre corps… Tsst tsst ! Comment est-ce possible ? Ne l’entendez-vous pas pourtant vous supplier de lui accorder un instant de répit ? Une pause salvatrice ? Ecoutez-le, ne serait-ce qu’un instant. Posez-vous et laissez-vous guider par cette petite voix qui chuchote qu’il est enfin temps.
L’année écoulée a été particulièrement éprouvante pour toutes et tous. Pour notre moral mais pour notre corps également. Tous deux appellent maintenant au silence bienfaisant, à la paix intérieure. Un silence et une paix qu’à l’hôtel U Capu Biancu nous cultivons avec une attention toute particulière. Parce que nous savons. Nous savons qu’ils sont essentiels à votre bien-être. Aussi, outre la nature réconfortante de l’hôtel et son environnement apaisant, il existe ici des clés magiques pour vous détendre.
A l’hôtel U Capu Biancu, le pain n’est pas que du pain. Non… A l’hôtel U Capu Biancu le pain représente le travail et la passion de Tarik, notre boulanger. Il symbolise la vie telle que nous la voyons ici : une vie faite de partage, de joies saines et de gourmandise.
Un proverbe catalan dit que « le meilleur pain est celui de la maison ». Nous sommes d’accord ! Surtout lorsqu’il est fait maison par un professionnel. Dans ce cas-là, le pain devient une véritable pépite dont on se délecte. Il est un miracle. De ceux dont le parfum enivre et la saveur étourdit. A condition toutefois de trouver son génie…
Pendant que les uns coulent une retraite amplement méritée, les unes s’activent de plus belle. Pour la bonne cause et avec ménagement bien sûr !
« La retraite est le port où il faut se réfugier après les orages de la vie » écrivait Voltaire. C’est vrai que nos ânes en ont vécu des orages. De ceux que seul le ciel sait fabriquer : pluvieux, électriques et tonitruants. Mais rassurez-vous, nos compagnons à quatre pattes avaient déjà de quoi s’abriter. Nous y veillions d’autant qu’ils devaient pouvoir assurer leur mission quotidienne : paître et venir vous saluer.
« Voilà l’été, j’aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s’éclaircit (…)
Voilà l’été, voilà l’été, voilà l’été (…) »
Cette chanson des Négresses vertes, le groupe Little Rock pourrait certainement la chanter. Et pour cause ! Comme chaque année, ses membres s’apprêtent à enflammer le dancefloor d’U Capu Biancu pour célébrer l’arrivée de l’été en musique.
L’été, c’est comme une musique qui résonne dans nos têtes : c’est du pep et de la douceur, de la joie et de l’évasion. C’est du rock vitaminé et de la soul teintée de blues. L’été, c’est toute la musique qu’on aime. Et cette musique, comme chaque 21 juin, c’est le groupe Little Rock qui la matérialise : quelques bends, un chouia de groove, deux ou trois gamme blues et croyez-nous, vous ne penserez plus qu’à une chose : faire la fête.
25 ans ! Cette année le chef Gadio El Hadji fête ses 25 ans au sein de l’hôtel U Capu Biancu. 25 années d’une cuisine black-blanc-cœur certes, mais surtout 25 années de rires, de stress aussi et… d’amitié absolue.
L’histoire aurait pu être celle d’Aladin : deux ou trois caresses sur une lampe magique, une formule « abracabrantesque » et hop ! voilà que serait apparu un génie. Notre génie à nous, c’est en effet Gadio El Hadji. Issu comme par magie d’une Afrique où la cuisine est autant colorée qu’elle est parfumée. Un génie qui depuis 25 ans ne cesse de nous surprendre par sa créativité, son acharnement au travail et son engagement envers U Capu Biancu et la Corse.
Il y a des journées qui commencent magnifiquement bien. Ces journées-là, en règle générale, se déroulent comme dans un rêve. Débuter l’une d’elle en sirotant son café matinal confortablement installé à
laisse présager d’une suite bienheureuse et… aérée !
Nous l’écrivions, il y a d’abord le petit café du matin. Ou le thé. Ou le jus de fruit, c’est selon votre envie du moment. Bref, il y a d’abord l’instant matinal, que l’on apprécie dès 10 h, les yeux rivés sur l’horizon ou un livre à la main, en respirant l’air marin. Cet instant, lorsqu’on le goûte depuis la paillotte d’U Capu Biancu, a le goût du soleil et le parfum de la Méditerranée. Cet instant est celui qui donne le ton de la journée à venir. Une journée alors pleine de promesses et d’agréables tentations.
Ils sont quatre. Styles différents, allures différentes, caractères différents mais énergie identique. Ce sont nos beaux gosses. Ou plus exactement les beaux gosses d’U Capu Biancu. Plus précisément des plages d’U Capu Biancu. Sur le sable ou sur l’eau, ils ont une seule et même mission : faire de ce petit bord de mer le théâtre d’un farniente incomparable.
Certes, la mission peut paraitre simple tant la nature a déjà accompli un vrai miracle en dessinant ces criques, en les recouvrant d’un sable aussi délicat et en invitant la Méditerranée à en caresser le rivage. Pour autant, nos beaux gosses – alias Romain, Pierre-Louis, Abdé et Gilles – s’activent quotidiennement à l’entretien de ces petits paradis.
C’est vrai, commencer un billet par une assertion négative n’est certes pas des plus engageant. Pourtant… Pourtant, parfois il faut écrire les choses clairement. Nous ne sommes donc pas un restaurant gastronomique, nous sommes bien mieux encore : nous sommes un restaurant authentique !
Oui, et même si le terme « authentique » vous parait galvaudé, il reflète réellement la cuisine du chef Gadio El Hadji. Une cuisine vraie et colorée, tantôt épicée, tantôt douce à souhait. Une cuisine raisonnée, une cuisine du cœur dont chaque mets traduit l’engagement de l’hôtel U Capu Biancu.
Nous pourrions vous parler locavorisme et brandir à bout de bras nos revendications en matière de restauration durable. Oui, nous le pourrions. De votre côté, vous nous rétorqueriez certainement : « Et alors ? »
Oui, et alors… Car le mouvement n’est pas nouveau ; il date même du Moyen Age, lorsque producteurs et clients se retrouvaient sur les marchés forains pour échanger en direct. Mais peu importe qu’il soit nouveau ou non, à l’hôtel U Capu Biancu nous n’avançons pas forcément en suivant le courant. Pas même en matière de nourriture. Non, si nous ne vous parlons pas de locavorisme, c’est parce que depuis toujours notre engagement va plus loin encore. Beaucoup plus loin.
Ok, vous avez choisi de venir à l’hôtel U Capu Biancu pour vous ressourcer, vous reposer. L’endroit parfait, n’est-il point ? Pour autant, se reposer c’est aussi se divertir. C’est pourquoi nous avons concocté quelques soirées et événements qui vous feront, nous en sommes persuadés, le plus grand bien !
Chaque semaine, nous agrémenterons donc certaines soirées d’U Capu Biancu avec des thèmes définis.
Si les diamants ont un prix, les bons conseils, eux, n’en ont pas. Et les bons conseils, la conciergerie d’U Capu Biancu en regorge. Notamment concernant la Corse et ses secrets : lieux incontournables, rendez-vous inoubliables, dégustations savoureuses, activités distrayantes, rien (ou presque) de la Corse ne saura vous échapper.
Si nous connaissons tous les chemins de notre pays ? Pour être honnêtes, non ! Non parce que ces chemins sont multiples. Vraiment multiples ! Si multiples que chaque année nous en découvrons de nouveaux : nouveaux sentiers de randonnée, nouvelles percées marines, nouveaux couloirs aériens.
Connaissez-vous le point commun entre le métier d’esthéticienne et celui de gouvernante ? Bien sûr qu’il y en a ! Plusieurs même. Ces points communs, Virginie les range soigneusement, chaque hiver, dans sa besace de gouvernante de l’hôtel U Capu Biancu. Et dès que sonne l’heure de la réouverture, elle les ressort tels de précieux trésors.
Pour qui connait Virginie et sa minutie, il est facile de comprendre que son premier métier a été celui de la beauté.
A l’hôtel U Capu Biancu la distanciation physique se fait naturellement. Pas besoin de dresser des murs en plexiglass ou de se lancer dans des calculs d’apothicaire pour respecter un quelconque « périmètre ». Ici, les chemins ne se croisent que si on le souhaite. Ici, nous avons pensé des espaces de plein air pour vous permettre de respirer en toute quiétude.
Respirer à pleins poumons, vous en rêvez n’est-ce pas ? Respirer à l’air libre, respirer un air pur, respirer loin de toute vicissitude. Cette respiration saine et sereine a toujours été notre leitmotiv. Nous savions que le luxe était l’espace et le plein air.
Nous pourrions écrire que les chambres de l’hôtel U Capu Biancu sont cosy et confortables. Qu’elles sont belles et originales. Mais quelle évidence, quel lieu commun n’est-il point ? Nos chambres sont bien plus que cela : elles sont une histoire. Oui, nos chambres, toutes nos chambres, sont une histoire. Une histoire naturelle que nous avons voulu raconter avec la pierre (celle de Bonifacio par exemple), le bois, le cuivre, le laiton et autres matériaux nobles. Une histoire onirique écrite avec des teintes captivantes. Une histoire romanesque et éternelle faite d’objets chinés çà et là auxquels nous avons donné une seconde, voire une troisième vie. Et surtout, une histoire d’amour que nous avons construite avec le temps, à la force de nos bras.
« Toujours enfermé, on voudrait voir dehors » chantait Charles Trenet. Il semblerait qu’aujourd’hui, plus que jamais, nous voulions effectivement voir dehors. Oui, nous voulons marcher dehors, nous voulons manger dehors. Nous voulons chanter, danser, rire, respirer dehors. Vous qui nous connaissez, savez quel soin nous portons à nos intérieurs : nous les désirons coquets, jolis et confortables. Nous les façonnons en pensant à vous, à votre besoin de quiétude et à vos envies d’ailleurs. Ainsi avons-nous pensé l’intérieur de nos villas : tous ont été agencés tels des cocons de soie, doux et enveloppants. Décorés et aménagés tel des sanctuaires, calmes et silencieux. Mais ce que nous avons souhaité, peut-être davantage encore, c’est que ces villas soient ouvertes sur l’extérieur.
Dites, vous faites quoi la saison prochaine ? Pardon ? Vous souhaitez intégrer le staff d’U Capu Biancu ? Avec grand plaisir ! Mais d’abord, il nous faut nous assurer de votre engagement. Pas seulement envers notre maison que nous adorons et que nous voulons préserver, mais également envers la terre qui l’accueille. Parce qu’elle aussi il nous faut la préserver. Alors du coup, nous avons pensé à ce petit quizz (et inutile de tricher, nous nous en apercevrons suffisamment tôt).
Une tempête ! Voici ce qu’est cette crise sanitaire que le monde traverse : une tempête. Un gros-temps dont nous savons, à l’hôtel U Capu Biancu, qu’il finira par se lever. En attendant, pour l’affronter, nous avons dû prendre des décisions. Des décisions que nous ne voulions pas regretter. Alors oui, nous avons conservé les emplois, oui nous avons recruté, et oui, oui et encore oui, nous vous avons ouvert les portes de notre maison. Plutôt que de jeter l’ancre nous avons donc continué à naviguer. Parfois à vue, c’est vrai. Mais toujours en tenant fermement la barre et sans jamais laisser tomber la grand-voile. Sans jamais cesser de penser à vous et au plaisir que nous prenons à vous servir.
L’art est un fleuve. Il est une rivière, un ruisseau. Il coule, parfois serein, parfois impétueux. Se déverse le long des chemins, des villes et des villages de Corse. Creuse un sillon dans les âmes et dans les cœurs. Un sillon duquel jaillit un flot d’émotions pas toujours maîtrisable mais ô combien vivifiant. Ce fleuve, cette rivière et ce ruisseau cheminent donc jusqu’à un confluent, un lieu paisible où tous les arts se rejoignent pour mieux s’exprimer : U Capu Biancu !
La Corsica Classic est un évènement à la fois sport, lifestyle et très exclusif qui s’inscrit dans la tradition des belles régates méditerranéennes de voile classique.
Avec les Régates Napoléon, lancées cette année par l’association Corsica Classic Yachting, la régate se positionne comme la première course de voiliers classiques sur l’ile de Beauté et comme un événement incontournable en Méditerranée. Dans le calendrier officiel yachting 2020, la Corsica Classic est avec les Régates Napoléon – qui se sont tenues du 20 au 25 juillet à Ajaccio -, la première régate à ouvrir le bal des rassemblements en Méditerranée, puisqu’en raison de la crise du COVID-19, toutes les épreuves ont été annulées ou décalées à l’automne.
Ouverte à tous les yachts de tradition jaugés CIM et les « Esprits de tradition » jaugés IRC 2020, cette course s’inscrit dans le circuit officiel organisé par le Comité International de Méditerranée et l’Association Française des Yachts de Tradition (AFYT).
« Tiens tout a changé ce matin
Je n’y comprends rien
C’est la fête, la fête (…) »
Oui, c’est la fête, l‘hôtel U Capu Biancu ouvre enfin ses portes ! Quel bonheur ! Nous avions tellement hâte de vous retrouver ! De vous retrouver et de vous accueillir ici, dès le 23 juin, dans notre cachette secrète. Parce que l’hôtel U Capu Biancu, c’est cela : une cachette secrète. La cabane dans les arbres où les enfants refont l’histoire, leur histoire. Il est le havre des acharnés du travail en quête de vacances sereines, l’escale des voyageurs avides d’air marin et de liberté. U Capu Biancu est un bout de monde. Surplombant la baie de Sant’Amanza, à seulement quelques kilomètres des falaises de Bonifacio, dévisageant la Méditerranée sans pour autant tourner le dos au maquis corse, il est l’oasis que nous façonnons avec amour depuis toujours.
Parce qu’il y aura forcément un « après », à l’hôtel U Capu Biancu, nous avons voulu rêver cet « après ». Ou plus précisément, l’anticiper. Alors nous nous sommes d’abord tournés vers hier avant de regarder le présent. Car nous en sommes certains : hier et aujourd’hui feront demain.
Postuler pour postuler ? Inutile ! Travailler pour travailler ? Certainement pas ! En tout cas, pas ici. Pas à l’hôtel U Capu Biancu. Ici, le travail n’est pas alimentaire. Il n’est pas non plus une insulte. Il est une valeur, celle du respect. Il est un engagement, une philosophie, un mode de vie. Ce qu’on voit d’abord d’U Capu Biancu, c’est la mer et le soleil de Corse. On se dit alors : « Chouette ! Je vais m’éclater tout en bossant ! » Ensuite, on en voit les étoiles. Ces étoiles-là sont au nombre de quatre. Oui elles méritent qu’on les respecte parce qu’elles sont le résultat d’un travail acharné, un travail de longue haleine. Et parce qu’elles sont le gage d’une qualité de service et d’un professionnalisme certain. Pour autant, elles n’obligent ni les styles ampoulés, ni les tenues guindées, ni les attitudes cérémonieuses. Ce que les étoiles d’U Capu Biancu exigent, ce sont sincérité et authenticité, confiance et bienveillance.
